Il paraît que partir à Kathmandou en stop était d’une simplicité enfantine… Dans les années 70 alors, car les choses ont changé apparemment. Question de mode peut-être.

Sauts de puce et attentes interminables sous le cagnard. Voilà pour résumer ces deux premiers jours.

Heureusement deux chauffeurs notamment m’ont sauvé la mise : un « vieux fourneau » italien à qui j’ai rappelé sa jeunesse et qui m’a sorti du haut Grésivaudan où je prenais racine jusque Brescia pour une première nuit à la belle. Puis un routier slovène me permettra de quitter enfin l’Italie, définitivement le pire spot de stop à ma connaissance.

Pas d’étoiles ce soir, les éclairs sont de sortie, mais l’auberge de jeunesse de Postojna (non pas l’hôtel Kras, le nom ne m’inspirait guère), petite bourgade slovène célèbres pour ses grottes et ses protées…

Demain, objectif Ukraine…