Vous reprendrez bien un peu de désert ? Celui du Kyzil-Koum est un peu moins monotone, et les dunes de sable remplacent parfois la terre brûlée. Mais l’horizon est toujours si plat qu’on croit imaginer la courbure de la Terre.
Oasis dans ce désert, et donc largement convoitée au fil des siècles, la ville sainte de Boukhara est le second joyau sur ma route ouzbèque. Ses dômes turquoises sont parmi les plus fameuses images d’Épinal de l’Asie Centrale.
Si Khiva est franchement une ville-musée, la plupart des sites de Boukhara (140 inscrits à l’UNESCO quand même) sont souvent investis par les boutiques, restaurants ou hôtels… Ce qui donne à la fois une impression de vie mais aussi d’attrape-touristes.
Mais il suffit de lever les yeux pour se replonger dans le passé, même le soir, une fois rentré à l’auberge (dernière photo).