Rarement trajet en train ne m’a paru si long. À peine a-t-on fermé l’œil que les formalités douanières commencent. Deux heures plus tard, on le referme enfin juste avant d’être à nouveau assailli par un défilé incessant de vendeurs/euses de thé, de vêtements, de soupe, de bric ou de broc. Inutile de penser les avoir à l’usure, à chaque arrêt en gare, des remplaçants frais rentrent sur le terrain.
Heureusement, il y a ces moments de grâce où l’on vous propose de partager le repas ou une tentative de discussion. « Google translate » chauffe, mais c’est quand même plus sûr que lorsqu’un chauffeur hongrois – ou autre – pianote son téléphone pour vous demander si ça va…
Finalement la monotonie des paysages a raison de ma patience et je descends un peu plus tôt que prévu. Je suis d’ailleurs un peu plus près du but que je me suis donné pour le lendemain.
Welcome in Uzbekistan.
Ah pardon non, welcome in the « Autonomous Republic of Karakalpakstan« … (Jamais entendu parler avant)
Bravo papa!!! Comme tu avances vite!!! J’ai hâte de te voir, au Népal ! !!
Coucou mon grand ! Moi aussi je suis pressé de vous revoir. Vous êtes le vent dans mes voiles 🙂
Coucou à toi et ben dit donc tu mange du lion tu avance vite bravo à toi et merci de partager ton parcours avec nous superbe photos . Bonne route à toi