Passage rapide mais obligé dans la capitale ouzbèque. Grande ville sans grands atours, si ce n’est ce bazar incroyable, loin des fameux mais désormais aseptisés bazars de Boukhara et Samarkand. Le genre de bazar où l’on trouve toujours ce qu’on ne cherchait pas. L’occasion de faire un passage au stand pour le sac à dos qui fatigue un peu…
L’accès à la vallée fertile et peuplée de la Ferghana se fait par un col d’où l’on aperçoit de part et d’autres les chaînes enneigées…
On ressort des sentiers touristiques et cela fait du bien de ressentir un peu plus l’ambiance « voyage ». Les gens sont d’une incroyable gentillesse. Dans la petite ville de Besharik, Nasiba accueille tous les voyageurs de passage. Elle les attend devant chez elle, téléphone à la main. Nous serons 5 à avoir la chance de goûter à son incroyable hospitalité et à son délicieux Plov, le plat national.
On est au cœur de l’Asie centrale, là où Staline, avec ses ciseaux de dentellière, a découpé un puzzle de frontières pour mieux diviser les peuples.
Coucou papa ! Ça ne te rappelle pas quelque chose le Kirghizstan ? Moi, en tout cas, ça me rappelle quelque chose hein ??
Oh mais Timothée tu avais quel âge ??? en tout cas je vois que tu partages des souvenirs et des secrets avec ton papa que j’embrasse à mon tour.
Bisous à la tribu.
Nadette
Bonjour Vincent
Merci pour ton sujet , je ne crois pas qu’en France nous aurions la même hospitalité avec les voyageurs . Il faut voyager pour réapprendre ça .
Bon voyage toujours et envoie nous des images des gens (si tu peux ) .
Bonne route
A bientôt .